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06 décembre 2006,30 avril 2007

L’exposition est organisée par l’Etablissement public du musée des arts asiatiques Guimet avec le soutien du Crédit Agricole, grand mécène du Ministère de la culture et de la communication et du Groupe Bugshan. En partenariat média avec Le Monde 2, Metrobus, Métro, FIP, France Info, France 2 et France 5.

Voir le site éducatif sur l’exposition réalisé en coproduction avec france5 education.

Introduction

Pendeloques dites « le souverain et les dragons » Afghanistan, Tillia tepe, tombe II 1er s. Or, turquoise, grenats et lapis-lazuli 12,5 x 6,5 cm Musée National d’Afghanistan – MK 04.40.1091- © Thierry Ollivier / Musée Guimet

L’exposition Afghanistan, les trésors retrouvés, collections du musée national de Kaboul se propose de faire découvrir au public le patrimoine de quatre sites archéologiques majeurs : Fulol, Aï-Khanoum, Tillia-Tepe et Begram. Au-delà de l’aventure unique de ces trésors retrouvés, l’exposition rend hommage à l’histoire de l’Afghanistan, au centre de royaumes et d’empires qui se sont étendus de l’Asie centrale à l’Inde du nord.


Couronne Afghanistan, Tillia tepe, tombe VI 1er s.
Or 45, 0 x 13, 0 cm Musée National d’Afghanistan – MK 04.40.50
© Thierry Ollivier / musée Guimet

Propos de l’exposition

Vase, Tête de personnage féminin Afghanistan, Begram, chantier II, chambre 10 1er s. Bronze 10,6 x 5,2 cm Musée National d’Afghanistan – MK 04.1.104 © Thierry Ollivier / Musée Guimet

Grâce à la présentation exceptionnelle de 220 pièces, l’exposition permet de mettre en perspective l’évolution de l’histoire afghane, de l’Age du Bronze à l’empire des Kouchans. Bien que les objets présentés diffèrent par leur origine géographique et historique, ils célèbrent la continuité, l’unicité et la richesse du patrimoine afghan, dans une région soumise à de multiples influences culturelles : iranienne et proche-orientale, indienne, scythe, chinoise et hellénistique.


Plaque ornée d’une figure féminine dite « Aphrodite kouchane » Afghanistan,
Tillia tepe, tombe II 1er s.
Or 4, 5 x 2, 5 cm Musée National d’Afghanistan – MK 04.40.113 © Thierry Ollivier / Musée Guimet

Les sites

Tepe Fullol

Bol avec sanglier et décor d’arbre sur une montagne Afghanistan, Tepe Fullol Age du Bronze, fin du 3ème millénaire, c. 2100 – 2000 av. JC Or H. 11, 6 cm Musée National d’Afghanistan– MK 04.29.3 © Thierry Ollivier / Musée Guimet

Une découverte fortuite, celle du trésor de Fullol, en 1966, allait lever le voile sur un pan de l’histoire complètement inconnu, celle d’un vaste ensemble qui couvre l’Afghanistan, l’Iran oriental et le Turkménistan au temps de l’Age du Bronze, vers 2000 av. n. è. Entre Civilisation de l’Indus et Mésopotamie, une « nouvelle » civilisation émergeait avec ses sceaux de bronze, ses statues de « déesses » en matière composite à la silhouette abstraite, ses coupes en or ou en argent au décor d’animaux sur fond de paysage, avec sa cohorte de créatures étranges et de taureaux barbus ou ses motifs géométriques, lointain écho de la céramique de Quetta.

Bol à décor de taureaux barbus Afghanistan, Tepe Fullol Age du Bronze, fin du 3ème millénaire, c. 2100 – 2000 av. JC Or H. 14,9 cm Musée National d’Afghanistan– MK 04.29.5 © Thierry Ollivier / musée Guimet

Après les fouilles de Mundigak, au Sud, non loin de Kandahar, qui avait révélé une véritable « Civilisation de l’Hilmand » au temps de l’Age du Bronze, Fullol montrait au nord, quelques siècles plus tard, un monde spécifique dont l’existence explique en partie le dynamisme de la Civilisation de l’Indus, avec laquelle il était en contact comme l’ont montré les fouilles de Shortughai. Contrôlant les sources du lapis lazuli du lointain Badakshan (Nord de l’Afghanistan), ce monde est en relation avec Sumer et Ur, ou Mohendjo-Daro. Au sud de la ville de Baghlan, une simple découverte avait ainsi permis d’appréhender tout un réseau d’échange qu’on ne soupçonnait pas entre le Proche-Orient, l’Asie Centrale, l’Afghanistan et la vallée de l’Indus, témoin de ce que Pierre Amiet allait appeler « l’âge des échanges inter-iraniens ».

Le site d’Aï-Khanoum

Plaque de Cybèle Afghanistan, Aï Khanoum, Sanctuaire du temple à niches indentées 3ème s. av. JC Argent doré Ø 25 cm Musée National d’Afghanistan – MK 04.42.7 © Thierry Ollivier / musée Guimet

(fin du IVème s – milieu du IIème s av. J-C), autre lieu mondialement connu, a été découvert puis fouillé par la délégation archéologique française en Afghanistan (DAFA) entre 1964 et 1978. Il incarne l’avancée extrême de l’hellénisme au coeur de l’Asie Centrale et l’influence durable de cette culture dans la région. Les lingots d’or rappellent la richesse des aventuriers grecs, tandis que la plaque de Cybèle illustre la symbiose avec des traditions plus orientales.

Balkh (Bactres)

Chapiteau corinthien Afghanistan, Balkh, Tepe Zargaran 3ème s. av. JC Calcaire 83 x 61 x 58 cm Musée National d’Afghanistan – © Thierry Ollivier / Musée Guimet

Ville mythique, lieu où furent célébrées les noces d’Alexandre et de Roxane en 327 avant n.e., Bactres ou Balkh a été célébrée par les auteurs du monde classique, les Chinois, les Arabes et les Persans comme « Balkh la Belle, Balkh Mère des villes », avant d’être ravagée par Gengis Khan en 1220. Alfred Foucher, fondateur de la Délégation Archéologique Française en Afghanistan (DAFA), entreprenait en 1924 des fouilles sur la citadelle, mais, à sa grande déception, il ne devait pas rencontrer de vestiges grecs sous les dépôts des époques islamiques.

À la suite de découvertes fortuites d’éléments architecturaux hellénistiques, près de Balkh , à Tepe Zargaran, la DAFA, après la reprise des fouilles sur cet ensemble de sites en 2003, a pu atteindre en 2004, 7 mètres sous la surface, une accumulation de blocs architecturaux dont beaucoup proviennent du démontage d’édifices grecs, sans doute voisins, pour servir à la construction d’une digue. Sous les remparts de l’époque kouchane, apparaît un mur d’enceinte sans doute de la période grecque, alors qu’un stupa fondé par le roi Mega Soter (Vima Takto), milieu du Ier siècle de n.e, est le monument bouddhique le plus ancien de Bactriane. Dans la citadelle de Balkh, d’importants vestiges remontant à la période achéménide (VI-IVe s. av. n.e.) sont en cours de fouille.

Tilla tepe

Boucles d’oreille ornées d’un amour Afghanistan, Tillia tepe, tombe VI 1er s. Or 7, 0 x 1, 5 cm Musée National d’Afghanistan – MK 04.40.7 © Thierry Ollivier / Musée Guimet

Tillia tepe, la « colline de l’or », allait dévoiler, en 1978, lors des fouilles d’une citadelle datée de l’age du fer, la présence de six tombes des environs de l’ère au Nord de l’Afghanistan non loin de Shebergan -, six tombes au luxe « barbare », d’une richesse inouïe, cinq tombes de femmes et une tombe d’homme, où les corps apparurent revêtus de vêtements cousus d’or, incrustées de turquoise, de grenat, de lapis-lazuli. Si les parures évoquent l’or des Scythes des rives du Bosphore et de la Chersonnèse, des miroirs chinois datés de l’époque Han montrent un monde ouvert à l’Eurasie entière, jusqu’à l’Extrême-Orient – à côté d’intailles classiquesau profil d’Athéna ou d’un peigne en ivoire au décor incisé dont le style évoque directement Begram ou Dalverzine tepe.

Statuette de bouquetin Afghanistan, Tillia tepe, tombe IV 1er s. Or 5, 2 x 4, 0 cm Musée National d’Afghanistan – MK 04.40.399 © Thierry Ollivier / Musée Guimet

Dans la tombe III, fut trouvée une monnaie de Tibère (14-37 ap. n. è.). En 1978, Tillia tepe, la « colline de l’or », dévoilait, lors des fouilles d’une citadelle datée de l’age du fer, la présence de six tombes des environs de l’ère au Nord de l’Afghanistan non loin de Shebergan -, six tombes au luxe « barbare », d’une richesse inouïe, cinq tombes de femmes et une tombe d’homme, où les corps apparurent revêtus de vêtements cousus d’or, incrustées de turquoise, de grenat, de lapis-lazuli. Si les parures évoquent l’or des Scythes des rives du Bosphore et de la Chersonnèse, des miroirs chinois datés de l’époque Han montrent un monde ouvert à l’Eurasie entière, jusqu’à l’Extrême-Orient – à côté d’intailles classiques au profil d’Athéna, se trouvait aussi un peigne en ivoire à décor incisé dont le style évoque directement Begram ou Dalverzine tepe.

Monnaie ronde en or, Tibère Afghanistan, Tillia tepe, tombe III 1er s. Or Ø 1, 9 cm Musée National d’Afghanistan – MK 04.40.426 © Thierry Ollivier / Musée Guimet

Couronne aux formes végétales, délicates et fragiles, qui annonce la Corée au temps des Trois Royaumes (1er-7ème siècle), Aphrodite bactrienne à l’allure enfantine qui évoque Sirkap et l’époque scytho-parthe, ces pièces sont l’écho d’une société nomade où luxe et raffinement riment avec tolérance, curiosité pour des mondes inconnus. Elles voisinent avec des pendentifs où le maître des animaux terrasse des dragons, une ceinture ponctuée de cavaliers chevauchant des êtres fantastiques et tenant le canthare, un bouquetin au réalisme animalier d’une extrême finesse qui dérive directement de l’art achéménide. Qui étaient ces princesses et ce prince enterrés sur la frontière afghane ? Faut-il y voir les tout premiers yuezhi, ceux que l’envoyé chinois Zhang Qian voit camper au Nord de la Bactriane vers 138 av. n. è., comme le pense Victor Sarianidi lors de la découverte ? Ou faut-il simplement y voir l’un de ces clans saka, cousins des scythes à l’Ouest, qui nomadisent de l’Oural à l’Altaï ?

Ceinture en or Afghanistan, Tillia tepe, tombe IV 1er s. Or 97, 5 x 2, 0 cm Musée National d’Afghanistan – MK 04.40.384 © Thierry Ollivier / Musée Guimet

Si le mystère demeure, il n’en reste pas moins que le bouddhisme ici fait son apparition aux portes de la steppe avec une monnaie d’or au thème énigmatique appelée « l’homme à la roue », marquée du triratna. Dans la tombe III, fut trouvée une monnaie de Tibère (14-37 ap. n. è.). Ce trésor montre le monde nomade maître de la route de l’or qui provient de l’Altaï. Il le montre aussi au centre d’un vaste réseau d’échange dont les ramifications apparaissent très lointaines – le jade vient de Chine et le grenat de l’Inde ; la turquoise peut-être de Nichapur et d’Iran oriental ; le lapis-lazuli, lui, des mines du Badakhshan (actuel Afghanistan).


Fourreau orné d’une scène de combat d’animaux Afghanistan, Tillia tepe, tombe IV 1er s.
Bois, cuir, or et turquoise
23,5 x 9 cm Musée National d’Afghanistan – MK 04.40.382 © Thierry Ollivier / musée Guimet

Poignard à manche en or orné d’une scène de combat d’animaux Afghanistan,
Tillia tepe, tombe IV 1er s.
Fer, or et turquoise 37, 5 cm
Musée National d’Afghanistan – MK 04.40.387 © Thierry Ollivier / musée Guimet
 

Begram

Cavalier au type juvénile, « Alexandre » Afghanistan, Begram, chantier II, chambre R. T.1er s. Bronze (statuette creuse) 13,5 x 3,5 cm Musée National d’Afghanistan – MK 04.1.28 © Thierry Ollivier / Musée Guimet

Sur le site de l’ancienne Alexandrie du Caucase, les fouilles de la D.A.F.A. en 1937, puis 1939, révélèrent au cours du chantier II l’existence de deux chambres murées, remplies d’objets de Méditerranée, de Chine et du sous-continent indien – ce qu’on appela le « Trésor de Begram ». Celui-ci allait rester l’objet de toutes les controverses, en l’absence de références aussi anciennes, à l’Ouest comme à l’Est. Les ivoires indiens étaient inconnus jusque là, à part un manche à miroir trouvé à Pompei. Doit-on y voir un ensemble kouchan à l’époque d’Auguste (1er s.) ou bien de de Kaniska (2ème s.), ou faut-il lui donner une date beaucoup plus haute à l’époque indo-parthe, quand le souverain Gondopharnes gouvernait Taxila, voire à l’époque indo-grecque au temps du tout dernier roi grec au Sud de l’Hindukush, Hermaios qui règne sur Kabul ? « Trésor » caché par peur des invasions, stock de marchand ou simple collection, l’ensemble même aujourd’hui encore a gardé son mystère.

Grand gobelet à décor peint, le combat d’Achille et d’Hector Afghanistan, Begram, chantier II, chambre 13 1er s. Verre incolore, H. 24, 3 cm ; Ø 13,4 cm Musée National d’Afghanistan – MK 04.1.38 © Thierry Ollivier / Musée Guimet

Il montre cependant l’Afghanistan au carrefour de l’Asie, entre la Grèce, la Chine et l’Inde, à travers un rassemblement d’objets dont certains sont uniques – Des laques chinois datées de l’époque Han (40-50 ap. n.è), des verres et des emblemata provenant d’Alexandrie, des bronzes gréco-romains qui évoquent Sirkap et surtout tout un mobilier plaqué d’ivoires indiens au décor incisé, gravé ou en relief, soit un « Trésor » d’objets de qualité, mais sans aucune monnaie ou réserve financière.

Médaillon circulaire, amour ailé représenté en buste Afghanistan, Begram, chantier II, chambre 13 1er s.
Plâtre 16, 5 cm Musée National d’Afghanistan – MK 04.1.117 © Thierry Ollivier / Musée Guimet

Parcours de l’exposition

Coupe à motifs géométriques Afghanistan, Tepe Fullol Age du Bronze, fin du 3ème millénaire, c. 2100 – 2000 av. JC
Or Ø 9, 9 cm Musée National d’Afghanistan – MK 04.29.1 © Thierry Ollivier / musée Guimet

L’exposition commence par la présentation de trois des vases en or de Fullol qui permet d’évoquer la civilisation de la Bactriane de l’âge du bronze vers 2000 avant J.C., et ses relations avec la Mésopotamie. Ensuite une section plus importante est consacrée à la ville d’Aï Khanoum, fondée au temps d’Alexandre le Grand, témoin de l’hellénisme aux portes de la steppe (IVe-IIe siècles av. J.C.) que la DAFA, sous la direction de Paul Bernard, avait fouillée jusqu’en 1979.

Monnaie indienne Afghanistan, Tillia tepe, tombe IV 1er s.
Or Ø 1, 6 cm Musée National d’Afghanistan – MK 04.40.392
© Thierry Ollivier / Musée Guimet

Puis est présenté un choix de bijoux et d’objets provenant de six tombes de Tilla Tepe, fouillées sous la direction de Viktor Sarianidi, constituant un éblouissant ensemble de parures où se mêlent l’art des steppes, l’iconographie gréco-romaine et des objets chinois du tout début du 1er siècle de notre ère. L’exposition se termine par Begram où deux pièces apparemment scellées, fouillées par la DAFA sous la direction de Joseph Hackin, en 1938 et 1939, contenaient des meubles indiens en ivoire, des verres, des vases et des objets en bronze ainsi que des emblemata en plâtre de facture hellénistique du Ier siècle de notre ère.


Plaque représentant une figure dite « Aphrodite de Bactriane »
Afghanistan, Tillia tepe, tombe VI 1er s. Or 5, 0 x 2, 6 cm
Musée National d’Afghanistan – MK 04.40.9 © Thierry Ollivier / musée Guimet
 

Conclusion

« Déesse fluviale », debout sur un makara Afghanistan, Begram, chantier II, chambre 10 1er s. Ivoire 45 x 26 cm Musée National d’Afghanistan – MK 04.1.14 © Thierry Ollivier / musée Guimet

L’exposition s’accompagne de la restauration d’un grand nombre d’oeuvres, en vue de la réintégration des collections dans le musée de Kaboul. Leur présentation revêt une dimension toute particulière dans le climat politique actuel. En restaurant et en mettant en valeur le brillant patrimoine afghan et les influences culturelles qu’il a subies, cette exposition unique rappelle la fragilité et la nécessaire protection de ces trésors, véritables lieux de mémoire du peuple afghan dans un pays qui se reconstruit peu à peu…


Bague au chaton orné d’une représentation d’Athéna Afghanistan, Tillia tepe, tombe II 1er s.
Or 3, 0 x 2, 7 cm Musée National d’Afghanistan – MK 04.40.116 © Thierry Ollivier / musée Guimet

Sources : Pierre Cambon, conservateur en chef, co-commissaire de l’exposition.


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Renseignements pratiques

Dates de l’exposition : du 6 décembre 2006 au 30 avril 2007

Le billet « exposition » et le « billet jumelé » font l’objet d’une majoration exceptionnelle de 1 euro afin de contribuer à la reconstruction du musée de Kaboul.

Horaires : ouvert tous les jours, sauf le mardi, de 1 O h à 18
Evacuation des salles : 17h 45.
Billet exposition seule : tarif plein 8 €, tarif réduit : 6 €

Billet exposition + musée : 9,50 €, tarif réduit : 7 €

Pour les professionnels : achat de billets en nombre et à I’avanoe ; Billets coupe-file : Musée & Compagnie ;

Pour les individuels : achat de billets coupe-file A l’avance dans le rérseau FNAC, Carrefour

Gratuit pour les moins de 18 ans.

Commissaire : Jean-François Jarrige, commissaire général Pierre Cambon, conservateur en chef du patrimoine, section Afghanistan/Pakistan Muséographie : Massimo Quendolo, architecte dplg Président du musée : Jean-François Jarrige, membre de l’Institut

Publication : Catalogue de l’exposition, co-édition RMN / musée Guimet, prix : 48€ environ.

Standard : 01 56 52 53 00

Service culturel et pédagogique tel : 01 56 52 53 45149 ; fax : 01 56 52 54 36 Programmation liée à l’exposition :
adultes : visites comment des de l’exposition, cycles de conférences et tables rondes
jeune public : livret découverte (scolaires et individuels)

Site internet : www.guimet.fr

Adresse :
Musée des arts asiatiques Guimet
6, place de Iéna
75116 Paris
Métro : Iena, Boissière
RER C : Pont de l’Alma
Bus : 22, 30, 32, 63, 82

Contact presse
Musée des arts asiatiques Guimet
Hélène Lefèvre
Tel : O1 56 52 53 32
Fax : O1 56 52 53 54
Mail : helene.lefevre@guimet.fr

Détails

Début :
06 décembre 2006
Fin :
30 avril 2007
Catégorie d’évènement:

Lieu

6 décembre 2006 – 30 avril 2007
6 décembre 2006 – 30 avril 2007 + Google Map