Une nuit pour découvrir ou redécouvrir le musée Guimet, au son de la musique chinoise et de la littératures indienne.
Informations pratiques
Samedi 18 mai 2024
17h30-Minuit
Dernier accès à 23h30
Musée Guimet - Iéna
Informations et réservations pour chaque événement sur cette page
CONCERT
19h
Orchestrale !
25 min
Solo de Jiang Nan (chant, cithare guzheng)
Le solo de Jiang Nan emmène l’auditeur dans un dédale de notes et de gestes envoutants. Érudit
ou non, celui qui assiste à un concert de cette artiste inventive, ressort avec des images universelles
de nature apaisée et déchaînée. Respect de la tradition et explorations contemporaines forment la
trame de ce spectacle
LES MOTS DE L'ART CHINOIS Une découverte originale des collections chinoises du musée en s’amusant avec les mots, les rébus et les devinettes présentes dans le décor des céramiques, des laques ou du mobilier.
DROIT ET HISTOIRE DE L'ART Les étudiants en double licence Droit/Histoire de l’art de l’association la Prisée de Paris 1 Panthéon-Sorbonne deviennent médiateurs le temps d’une soirée et présentent quelques œuvres du musée Guimet à l’occasion de la Nuit des musées.
Shubhangi Swarup a remporté le Prix Émile Guimet de Littérature asiatique en 2022 pour son roman Dérive des âmes et des continents publié aux éditions Métailié et traduit de l’anglais par Céline Schwaller. La lecture des premières pages du roman sera suivie d’un échange en anglais (avec une traduction française simultanée) entre Shubhangi Swarup et Maria Lund, membre du Jury du Prix Émile Guimet de littérature asiatique en 2022, directrice de la galerie Maria Lund à Paris.
Galeries Monde himalayen (1er étage)
Entrée libre
La rencontre sera suivie d’une séance de dédicace à la librairie boutique du musée.
Duo de Jiang Nan (chant, cithare guzheng) et Dalaïjargal (chant diphonique et vièle mongole morin khuur)
Un spectacle animé par l’impétuosité des vents des steppes. Surnaturelle, la voix dédoublée du chanteur diphonique de Mongolie Dalaïjargal s’élève et s’entrelace, avec celle, presque humaine, de sa vièle à tête de cheval. Ensorceleuse, Jiang Nan fait rugir les sonorités fauves du guzheng et chante un blues du Fleuve bleu.