La Fondation Franco-Japonaise Sasakawa est une fondation reconnue d’utilité publique, créée en 1990. Sa mission est de développer les relations culturelles et d’amitié entre la France et le Japon.
C’est donc tout naturellement qu’elle a croisé le chemin du musée national des arts asiatiques – Guimet qui entretient avec le Japon des liens d’amitié très profonds. Au fil des années, le musée Guimet s’est imposé comme un partenaire privilégié.
Qu’il s’agisse de la venue d’une délégation de sept moines du Daitoku-ji de Kyôto à l’occasion de l’événement Les sens du zen à Paris en 2009, d’un spectacle avec Yoshi Oida et Stomu Yamash’ta, tel que Koans, Questions zen en 2011, la rénovation de la maison de thé installée dans le jardin d’inspiration japonaise des galeries du Panthéon bouddhique, en 2001, le soutien à des conférences, nous sommes à chaque fois certains qu’un partenariat avec le musée national des arts asiatiques – Guimet nous permettra de remplir au mieux notre mission.
Après avoir renouvelé son soutien au musée en s’associant, en 2015, à l’exposition Du Nô à Mata Hari, 2 000 ans de théâtre en Asie, et en encourageant la valorisation de la collection de photographies anciennes du Japon, la Fondation Franco-Japonaise Sasakawa confirme son engagement en devenant, en 2017, mécène de l’exposition Enquêtes vagabondes, le voyage illustré d’Émile Guimet en Asie.
Rendre possible l’accès à des savoirs précieux, parfois difficiles, est la condition d’une meilleure compréhension entre nos deux pays, au-delà des clichés, et d’une plus grande joie dans la connaissance.
Un autre lien uni la Fondation au musée, en la personne de Jean-François Jarrige qui fut le président du musée de 1986 à 2008. De 1996 à son décès en novembre 2014, Jean-François Jarrige siégeait au Conseil d’administration de la Fondation comme représentant du ministère de la Culture et de la Communication. Pendant ses mandats successifs, il a su éclairer le conseil de ses recommandations, toujours judicieuses, et des ses hautes compétences.
Photo (Haut de page) : Quatre jeunes femmes japonaises, l’ère Meiji © Mnaag